Parfois avec le coeur, les larmes
Bien peu aiment vraiment !
Si peu souvent avec l'âme
C'est que peu aiment vraiment
Amour à moi,
Je ferme les yeux
Sur les dernières nuits
Qui nous séparent. Qui nous unit ?
Je serre de mon mieux
Du plus que je puis
Un amour qui m'a... envahi

J'attends
Que le coeur l'emporte
J'attends qu'il frappe à ma porte,
J'attends tout...
L'amour est au bout
Tout...
Est bien en nous
J'attends
Près d'un mur de lierre.

Passer à coté de sa vie
Se mentir des vies durant,
T'aimer parce que c'est aujourd'hui
C'est ce qui compte vraiment
Amour à moi
Viens, ferme les yeux
Sur nos premières nuits
Rien ne nous sépare, tu m'as dit :
"Je serre de mon mieux
Du plus que je puis
Je t'étreins pour deux, tu es ma vie".

Être aussi simple
Aussi muet
Que tout le blé qui pousse au vent d'aimer
Simplement être...
La vie nous blesse
Elle nous assèche
J'attends que quelque chose fonde en moi
J'attends tout... "d'être"

Tous ces combats
Qui brisent insouciance
Mordent l'existence,
J'ai la mélancholia
Qui rend l'âme à nue
Qui me constitue
Tous ces combats
Alors que la rage
Que tout fait naufrage
J'ai dans mon autre moi
Un désir d'aimer
Comme un bouclier

Aux jours livides
Qui semblent me dire :
"je voudrais t'immerger dans un silence"
Je crains qu'ils dansent !
Beauté du doute
Oser un souffle
"Vivre" est ce qu'il y a des plus rare au monde
Pourtant les ombres...

Mais tout ce qui s'est passé
Glisse à côté
Comme l'eau sur les joues
Rester comme ça attaché
Quand l'autre a quitté

Et tous ces mots qu'on a dit
Mots qu'on a fuit
Où sont ils allés
Rester comme ça attaché
Ne peut rien changer
Alors va

Je laisse le vent emporter tout
Laisse le vent prendre soin de tout
Je laisse le vent emporter tout
Laisse le vent prendre soin de tout

L'ange parle-moi !
Le plus vaste des cœurs se brise.
Parle-moi !
L'hiver pourvu qu'on le cultive.
Dans cette pièce
Nul semble respirer
Ici, c'est un...
Abri qui m'a été donné !

Don't let me die, l'ange
Don't let me die, l'archange
Tu sais le temps qu'il faut pour apaiser
Nos peines
Don't let me die,
Et dis encore "je t'aime"

Je regrette ce que je fais et surtout tout ce que je ne fais pas...

Je ne pensais plus à mon blog...

Après tout ça sert à quoi? trop de choses à faire, à penser...et aujourd'hui non, je n'ai rien à faire mais beaucoup à penser.

Je suis seule et me sens seule en général.

Je vis avec quelqu'un, j'ai un appart, un travail et tout et tout...

Mais là j'ai un coup de blues...dispute sans intérêts toujours à cause de mes émotions et des difficultés des autres à les comprendre. Le cerveau est là pour tempérer le coeur, c'est pas moi qui le dit c'est mon homme.

Lui est comme ça, pas moi...

Bref, et puis il y a cette dispute avec Maud, l'Amie, oui avec un grand A...aujourd'hui plus de trois mois qu'on ne se parle plus, que je n'ai plus d'amie du tout et même si je ne veux plus y penser, ça me fais encore du mal.

Une déception pareille ça fait mal. Je n'ai pas compris, je ne comprends toujours pas. .pourquoi

Pourquoi s'attacher, tirer sa force des autres et de l'affection qu'ils nous portent alors que d'un moment à l'autre tout tombe à l'eau, tout se fane.

Des amies il y en aura d'autres, mais je n'ai plus envie, plus envie en général.

Ca fait partie des choses qui me manquent aujourd'hui encore plus que d'habitude, parce que je suis seule, que je n'ai pas le moral et que je repense à des années en arrière, quandj'avais des amis...

Aujourd'hui j'ai des rêves, des projets mais est-ce que c'est vraiment ça que je veux?  Parfois je me demande... comme auourd'hui. Je n'ai pas la tête à tout ça, ça n'est pas moi de vivre aussi calmement...

Que fait-on dans ces cas là? on fait comme d'habitude on attend que ça passe et on reprend notre vie de pantin, boulot dodo, macdo...voilà en tout cas c dit. Demain est un autre jour, j'aurais sûrement oublié ce subit accès de solitude ( prise de conscience ? ) mais il en faut bien des fois non?

Taille-moi les hanches à la hache
J'ai trop mangé de chocolat
Croque moi la peau, s'il-te-plaît
Croque moi les os, s'il le faut

Au bout de mes tout petits seins
S'insinuent, pointues et dodues
Deux noisettes, crac! Tu les manges

Au bout de mes lèvres entrouvertes
pousse un framboisier rouge argenté
Pourrais-tu m'embrasser pour me le couper...

Pétris-moi les hanches de baisers
Je deviens la femme chocolat
Laisse fondre mes hanches Nutella
Le sang qui coule en moi c'est du chocolat chaud...

Être aussi simple
Aussi muet
Que tout le blé qui pousse au vent d'aimer
Simplement être...
La vie nous blesse
Elle nous assèche
J'attends que quelque chose fonde en moi
J'attends tout... "d'être"

Tous ces combats
Qui brisent insouciance
Mordent l'existence,
J'ai la mélancholia
Qui rend l'âme à nue
Qui me constitue
Tous ces combats
Alors que la rage
Que tout fait naufrage
J'ai dans mon autre moi
Un désir d'aimer
Comme un bouclier

Aux jours livides
Qui semblent me dire :
"je voudrais t'immerger dans un silence"
Je crains qu'ils dansent !
Beauté du doute
Oser un souffle
"Vivre" est ce qu'il y a des plus rare au monde
Pourtant les ombres...

Ca y'est, j'ai enfin encadré le poster d'indo acheté le 20 après le concert !!!!!!!

Alorsssssss????

Alors il est pas juste trop beau ???

Il faut se ressembler un peu pour se comprendre, mais il faut être un peu différent pour s'aimer...

Le  souci de sa propre image, voilà l'incorrigible immaturité de l'homme...

( . . . ) et à ce moment, je pus enfin dire que j'avais compris. Le plaisir sexuel n'était pas seulement supérieur, en raffinement et en violence,à tous les autres plaisirs que pouvait comporter la vie; il n'était pas seulement l'unique plaisir qui ne s'acccompagne d'aucun dommage pour l'organisme, mais qui contribue au contraire à le maintenir à son plus haut niveau de vitalité et de force; il était l'unique plaisir, l'unique objectif en vérité de l'existence humaine, et tous les autres - qu'ils soient associés aux nourritures riches, au tabac, aux alcools ou à la drogue - n'étaient que des compensations dérisoires et désespérées, des mini-suicides qui n'avaient pas le courage de dire leur nom, des tentatives pour détruire plus rapidement un corps qui n'avait plus accès au plaisir unique ( . . . )

Extrait de

"LA POSSIBILITE D'UNE ILE"

de Michel Houellebecq

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